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Nans Vincent, sur la route du succès

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A seulement 18 ans, Nans Vincent est un musicien rempli de talent, un jeune homme plein d’ambition qui a déjà écumé de belles scènes parisiennes. Après avoir écrit ses premiers textes sur les bancs de l’école, il se lance à corps perdu dans ce qui donne un sens à sa vie, la musique et rien d’autre. Rencontre avec ce fonceur Toulonnais dont vous entendrez forcément parler.

Bonjour Nans, comment te décrirais-tu au public qui ne te connaît pas encore ?
Je suis un enfant qui fait des chansons, des chansons qui me tiennent à cœur, je mets toutes les chances de mon côté pour pouvoir vivre de ma musique, je suis un fonceur qui ne lâche jamais rien, par contre je n’ai pas la prétention de me considérer comme un grand chanteur ni un grand musicien.

Comment est venue cette envie de vivre de musique ?
Avant de faire de la musique, j’écrivais beaucoup. Depuis l’âge de 12 ans, j’écrivais des poèmes, puis un jour, j’ai fait un texte avec un refrain. Lorsque je suis monté sur scène pour la première fois, je n’ai plus jamais voulu redescendre. Aujourd’hui, je travaille pour réussir.

Tes textes retracent-ils des morceaux de ta vie ?
Complètement ! Ce sont des textes autobiographiques, je parle de ma vie, je romance aussi beaucoup, j’essaye de rendre quelque chose de très réaliste en appuyant sur certains traits. Je parle de tout et de rien, du quotidien et des excès de sentiment sur une période.

De quoi rêve-t-on à 18 ans, lorsque l’on a l’avenir devant soi ?
Plus jeune, lorsque j’allais voir des concerts à Toulon, je rêvais d’être à la place de l’artiste sur scène, et puis j’ai rencontré les bonnes personnes au bon moment, c’est parfois une histoire de chance, si on est prêt à se battre pour ses rêves, on peut les réaliser. Mon rêve n’est pas très fou, je veux simplement continuer à faire de la musique ma vie.

Aujourd’hui, si tu devais faire le bilan de tes premiers pas sur scène, que dirais-tu ?
La première fois, je tremblais comme un gamin, c’était une sensation bizarre, inexplicable, que j’ai adorée. Aujourd’hui, je suis plus zen, même si je reste un éternel stressé, la scène est indispensable pour moi. A présent, je veux continuer à me produire sur scène, me faire connaître à Paris, à Toulon et puis là où le vent me mènera…

Propos recueillis par Marine Astor

Nans Vincent, sur la route du succès