Fabien Albert a créé son agence immobilière en juillet 2011. Alors que 30% des ventes de son entreprise se font par des acheteurs venant d’autres régions, la stratégie de communication choisie est clairement un élément fondamental de sa réussite. Il nous en a donc expliqué les principaux axes ainsi que les résultats.
Depuis 4 ans, qu’avez-vous mis en place comme supports de communication pour favoriser la visibilité de votre entreprise ?
Dès le départ, j’ai souhaité mettre en place une communication importante au travers de différents supports : sites internet, référencement, réseaux sociaux, afin de pouvoir mettre en valeur les biens qui nous sont confiés et élargir notre champ d’action. Depuis 4 ans, ce qui a évolué, c’est notre visibilité sur internet et notoriété qui, par conséquent, ont augmenté le nombre de visiteurs sur les différents sites. Concernant les supports internet, nous sommes présents sur le site seloger.com, qui regroupe d’autres sites comme LCI, Capital, TF1, Le Point… et qui touche un public international. Nous sommes également visibles sur les sites avendrealouer.fr, logic-immo.com, var-immo.net, leboncoin.fr, maisonsetappartements.fr et Limpact.fr. Nous diffusons aussi des vidéos sur Youtube, permettant des visites virtuelles de nos produits. Depuis peu, nous sommes aussi dans le journal JBM. Enfin, nous avons notre propre site : albert-immobilier.com. Nous utilisons aussi le référencement Google afin d’augmenter mécaniquement notre visibilité et donc la fréquentation de nos annonces. Tout cela représente un budget important, mais c’est nécessaire à l’exercice de notre fonction.
Avec internet nous touchons une population tellement vaste. Plus de 30% de nos acheteurs ne sont pas de la région.
De plus, j’avais à coeur de pouvoir mettre en valeur les biens dans notre vitrine avec des affiches lumineuses et en privilégiant les photos aux textes. Et de par notre situation, nous avons beaucoup de personnes qui viennent dans notre agence.
Qu’en est-il des supports « papier » ?
Depuis un an, nous éditons le magazine Albert Immobilier, en collaboration avec Limpact, à plus de 24 000 exemplaires par an, ce qui représente plus de 70 000 lecteurs. Il est distribué en boîtes aux lettres et déposé avec Limpact dans les commerces de son circuit de distribution. Ma volonté est d’informer les lecteurs sur la ville d’Ollioules, sur les différents services et commerces, ainsi que la qualité de vie.
Quels sont vos autres outils de publicité ?
Nous sponsorisons et soutenons des clubs sportifs et associations culturelles que sont l’USO, le club de foot d’Ollioules, le RCO, le Club de Rugby Ollioulais, la Lyre provençale d’Ollioules, et l’amicale des sapeurs pompiers.
Nous avons un dernier support publicitaire, propre à Ollioules. Il s’agit d’un bus de la ville, mis gratuitement à disposition pour le transport des associations. Nous sommes 6 entreprises à financer ainsi ce véhicule sur lequel, en contrepartie, nous sommes représentées.
Quels sont les retours quantifiables de cette stratégie de communication ?
Nous avons des outils nous permettant d’analyser les retours de cette communication. Le bilan est positif puisque notre site a plus de 24 000 visites par an.
Quant aux autres supports internet; les statistiques nous indiquent que nos annonces ont été vues plus de 600 000 fois. En 2015, notre agence a fait plus de 600 visites à la vente et 113 personnes nous ont confié la vente de leur bien.
Il est aujourd’hui impératif d’utiliser internet comme un levier de croissance. C’est à l’heure actuelle le média le plus utilisé par les Français, pour leur première recherche. Il est donc fondamental de pouvoir assurer une présence à nos biens immobiliers sur ce canal pour garantir un taux de transaction élevé – taux soutenu par tous nos supports papier : Limpact, Ollioules Grand Sud…qui matérialisent et confirment notre présence sur le terrain. C’est en tout cas ainsi qu’Albert Immobilier conçoit sa mission. Nous en profitons pour souhaiter une très belle année 2016 à nos clients, tout en bonheur et en prospérité.
Propos recueillis par Karine Perrier
